Depuis 2022, je construis une recherche appliquée sur un triangle peu exploré :
Cybersécurité – Intelligence Artificielle – Créativité.
Trois domaines qu’on croit éloignés, mais qui forment, ensemble, un levier stratégique pour les entreprises.
Pourquoi ? Parce que le futur n’est pas une technologie à adopter.
C’est un écosystème à comprendre, à sécuriser… et à inventer.
J’ai donc conçu une série d’outils concrets — testés, améliorés, utilisés :
• Un test de maturité numérique (1000 points, 8 thèmes) pour mesurer l’exposition réelle d’une organisation.
• Un test IA pour comprendre comment les salariés intègrent l’IA dans leurs pratiques — et pas seulement s’ils “utilisent ChatGPT”.
• Un test de cybercréativité, qui évalue la capacité à résoudre des problèmes en croisant imagination, IA et sécurité.
• Un test LinkedIn pour analyser la posture digitale : présence, crédibilité, usage des IA et stratégie relationnelle.
• Et un test soft skills pour évaluer l’intelligence émotionnelle, le leadership et la pensée critique.
Chaque outil est accompagné d’un radar chart, d’un score, d’une recommandation de formation.
Mais ce n’est que le début.
Mon objectif : créer une cartographie des potentiels — pour aider les entreprises à :
-
Se protéger (cybersécurité)
-
Évaluer leurs ressources (IA)
-
Innover durablement (créativité)
-
Clarifier leur voix (LinkedIn)
-
Et faire émerger leur intelligence collective (soft skills)
Ce que j’appelle la cybercréativité n’est pas un concept académique.
C’est une clé stratégique pour les dirigeants, les RH, les formateurs.
Une manière d’anticiper l’instabilité… en structurant la pensée, la posture et les priorités.
Parce qu’une organisation créative, alignée et sécurisée
n’est pas seulement plus performante.
Elle est aussi plus attractive, plus humaine — et surtout, plus résiliente.
